Voici un nouveau post qui servira à la gestion des parrainages. Je propose de vous lister ici tous les pensionnaires de Beauregard qui restent à parrainer.
Dans ce post, vous pourrez :
- me signaler des erreurs dans la liste (et oui, il faut me rendre à l'évidence : je ne suis pas infaillible Yeux qui roulentrires)
- faire vos demandes de parrainage afin que Laurence puisse les valider.
Bien sûr, les personnes qui parrainent ou qui souhaitent parrainer et qui ne sont pas forumeurs, le feront, comme avant, en contactant le refuge.
( contact-beauregard@orange.fr )
La mise à jour de cette liste (ainsi que des posts sur le forum et des fiches des poilus sur le site internet) sera faite au fur et à mesure et, dans la mesure du possible, quotidiennement. Une liste « propre » sera rééditée chaque fin de semaine.
Afin que cette gestion soit facilitée, il serait souhaitable qu'il n'y ait ici que vos demandes de parrainage et/ou de correction.
Je n'ai plus qu'une chose à dire maintenant : d'avance, merci pour les poilus que vous demanderez à parrainer. Très heureux
________________________________________
COMMENT PARRAINER UN ANIMAL ?
En nous faisant parvenir une aide financière d'un minimum de 10 euros par mois, sans omettre de préciser à quelle fréquence vous enverrez vos dons (ponctuel, mensuel, trimestriel, annuel...)
C'est avec grand plaisir que nous vous accueillerons au refuge si vous souhaitez le promener et passer du temps avec lui.
Dans le cas des animaux ayant un traitement médical lourd, nous indiquerons sur la fiche du chien ou du chat concerné si il a besoin de plusieurs parrains-marraines en vue de se grouper et d'assurer une grande partie, voire la totalité, des frais vétérinaires.
A l'issue d'une période de 3 mois sans nouvelles de votre part, nous considérerons que vous ne souhaitez plus, ou ne pouvez plus, parrainer votre filleul et le proposerons à nouveau au parrainage.
Merci à l'avance de votre aide précieuse
APPEL AUX PARRAINS/MARRAINES.Nous sommes confrontés à un problème de gale auriculaire qui touche bon nombre de nos pensionnaires chats.
Nous utilisons des pommades auriculaires depuis longtemps qui n'ont aucun effet à long terme.
Nous avons consulté lundi dernier le docteur Hennet (Clinique ADVETIA à Paris) car un de nos chats avait un polype dans l'oreille engendré par une otite elle même causée par la gale des oreilles. Vous trouverez ci-dessous la vidéo filmée par le Docteur Hennet de l'intérieur de l'oreille de notre pensionnaire.
"Les pommades auriculaires censées tuer ce parasite sont des leurres" ce sont les propres mots de ce vétérinaire spécialisé.
Le seul traitement efficace est le stronghold à raison de 3 pipettes par chat sur une période de deux mois.
21 euros les 3 pipettes... 130 chats au refuge
21 euros X 130 soit 2 730 euros
Grâce à notre vétérinaire, que nous remercions, nous avons la possibilité de nous procurer 390 pipettes (130 chats X 3 pipettes) et de pouvoir soigner chaque chat pour
8.68 euros par animal au lieu de 21 euros.
Alors je m'adresse à vous parrains/marraines et vous demande un petit geste supplémentaire pour votre filleul et d'avance je vous en remercie.
ICI VIDEO HAUTE QUALITE
Gale des oreilles ou OtacariaseCette maladie est une affection parasitaire que l’on rencontre fréquemment chez nos chiens et nos chats. Elle est due à la présence d’un acarien appelé Otodectes cynoti dans les conduits auditifs. Il y vit, s’ y nourrit d’exsudats et de débris cellulaires, et s’y reproduit en pondant des œufs en très grande quantité. L’otacariase touche plus particulièrement les jeunes animaux.
Étant favorisée par la promiscuité, on la rencontre plus fréquemment chez des animaux issus d’élevages, animaleries ou refuges et même chez les particuliers possédant plusieurs chats.
La contamination :Elle se fait par contact direct d’un animal à l’autre, ou plus rarement par l'intermédiaire du milieu environnant, comme les couffins souillés, les brosses servant au toilettage.
Ce n’est pas une zoonose, contrairement à d’autres formes de gale, donc ne se transmet pas à l’être humain.
Les symptômes :La présence de parasites, leur multiplication, provoquent une irritation des parois du conduit auditif, déclenchant une otite chronique modérée, se traduisant par une sécrétion de cérumen très abondante.
Ce cérumen, par macération, donne une odeur très forte et caractéristique, et prend une coloration brunâtre voire noirâtre.
Les animaux se grattent les oreilles, secouent la tête en permanence, ce qui est le signe d'appel de cette affection.
Même si une seule oreille est tout d’abord concernée, la contamination de la deuxième oreille le plus souvent est très rapide et les deux oreilles sont à terme touchées.
Cette affection parasitaire, malgré la gêne et le prurit, conserve un caractère bénin. Toutefois, suite au grattage, aux mouvements de tête, des séquelles plus gênantes peuvent subvenir.
La surinfection peut conduire à une otite suppurée de moins bon pronostic, nécessitant une antibiothérapie par voie locale.
Les traumatismes occasionnés par le grattage ou les mouvements de tête, peuvent entraîner des ruptures sur les vaisseaux des pavillons. L’hémorragie au sein des tissus du pavillon se termine par la formation d’un volumineux hématome du pavillon, ou othématome, dont le seul traitement est chirurgical.
Le diagnostic :Un simple examen à l’otoscope, permettant de constater l’otite cérumineuse et la présence des parasites s’ils sont en grande quantité, suffit souvent. L’introduction d’une canule ou d’un coton tige dans le conduit incite le chien à se gratter de façon frénétique avec son membre postérieur. Ce fameux réflexe otopodal est souvent considéré comme caractéristique. Toutefois, seul un écouvillonnage du conduit suivi de l’observation au microscope du cérumen prélevé, permettra de poser un diagnostic de certitude en mettant en évidence les parasites ou leurs œufs.
Le traitement :Le traitement spécifique fait appel à des substances acaricides. Certaines sont présentées sous forme de gels, de pommades ou de lotions auriculaires. D’autres, sous forme de pipettes dont le contenu devra être déposé sur la peau du cou, en arrière de la tête et traitant également d’autres parasitoses.