ALF (Type berger belge)

Alf qui a attendu 3 ans et demi qu'elle le trouve sa naine... mais qu'est-ce qu'ils sont en osmose ces deux-là !
Comme d'habitude des nouvelles racontées avec un humour très fin et tellement agréables à lire.

Comme d'habitude

Tiens nous au courant de tes problèmes gastronomiques Alf, c'est primordial

Merci Alf de nous avoir donné de tes nouvelles. C'est super. Tu pourrais peut-être réclamer des lentilles, cela colorerait tes ... haricots.

Bonjour Beauregard,

Je tombe sur le courrier de mon E.T.

Décoiffant….

Pour une bête à poil, « sa plume est étonnamment détonante… ».

Le drôle d’oiseau qui dort en lui, doit être bien plus malheureux que le chien que je connais.

Mais, je peux comprendre son grand malheur, il ne me reconnaît plus, normal, je viens de « changer de chapeau ».

Ne riez pas, ça joue forcément sur le mental de mon E.T., le nouveau n’étant pas vert.



Un monde !, impossible sur la ville de trouver « le frère de mon autre », tous les commerçants m’ayant répondu qu’il était DEMODE. J’ai failli leur montrer les dents, puis je me suis souvenue que je n’étais pas mon chien….

Rentrée avec un feutre noir.

Bon, j’étais en deuil du Vert, mais l’enterrement avait déjà eu lieu….

Je hais les modes et ses villes….

Vivement les brocantes, « feu mon chapeau » ne peut pas être né fils unique de modiste. Je trouverai son parent, son frère cet été….



D’ici là, j’ai un gros souci à gérer avec ALF, car…

« Changer de couleur de galurin peut nuire à son chien ».



Pas entrée chez un coiffeur, mais pour mon ALF, le résultat doit être le même que si j’avais passé de blonde à brune… Quelque chose doit réellement échapper à son connu. Ma silhouette est différente, mon nouveau « couvre-chef » étant plus gros que l’ancien. Ancien qui a succombé à trop de jours de pluie…. A la fin le pauvre, il n’arrivait même plus à se sècher entre deux balades. Fini grippé, puis trop malade pour sortir.

Un soir, pour abréger ses souffrances, je l’ai réchauffé une dernière fois. Fais un magnifique feu de bois de hêtre dans la cheminée puis….

« Salut l’ami ! ».

Trop triste cette dernière flamme d’attachement.

Récupéré religieusement les restes de cette belle flambée.

Cette histoire ne s’arrêtant pas là.



OUI, promis « à mon ancien couvre-chef », posé sur un lit de bois mort avant lui, de lui faire connaître, rencontrer son successeur plus tard, une fois mon deuil achevé. Sur ces mots d’espoir, dame Allumette est sortie de sa boîte dans une gerbe d’étincelles et toute la cheminée s’est illuminée.

Rencontre post-mortem à devoir mettre en place, pas facile mais pas impossible.

Je ne trompe jamais mes amis.

Pas osé l’achat du suivant…, pas de chapeau neuf à l’enterrement du Vert.

Histoire de ne pas peiner mon vieux….

Sa dernière semaine a été difficile, le remplacer avant, pas pu. Son petit cœur n’aurait pas tenu, il serait mort foudroyé par un éclair de chagrin, tombé directement du ciel… J’aurais été, toute sa mort, coupable de haute-trahison. Impensable.

Allez ensuite, expliquer l’origine du feu de votre maison aux pompiers….



Mon compagnon, Monsieur Paron de la Pluie, est mort d’usure sans aucun signe d’Alzheimer. Mort avec toute sa tête.

Son besoin de savoir, QUI à son tour, allait prendre soin de moi, couvrir mon bocal aux idées, quoi de plus normal ?

Rien.

Il me restait à trouver comment y parvenir.



Je n’ai pas peiné longtemps, mon site contient une mine.

STOP ! Chercheurs d’or s’abstenir, les pépites de ma mine vous décevraient….

Mine de papier, pépites de connaissances.

Les pépites d’idées sont des « bulles de savoir » qui élèvent ceux qui les croquent.



Des tonnes de bouquins, dont quelques grimoires, inaccessibles aux non initiés.

Seuls les passionnés de nourriture, de cuisine et de magie des liaisons osent s’aventurer dans mon antre aux livres. On peut y perdre la notion du temps mais jamais le sien.

En extraire des recettes oubliées qui laissent espérer « qu’une petite saucière devrait pouvoir vivre bien plus longtemps qu’une fée du logis ».

Jadis, les anciens savaient émerveiller leurs palais, personne ne rêvait d’une « vie de château ».

Le bonheur était simple.



Sauf que, mon présent n’était pas de chercher à nourrir une brassée de convives, mais de tenir une promesse faite à un chapeau. Quand j’y pense : heureusement que je n’ai jamais eu de maris, eux seraient devenu fous depuis longtemps….



Mon pauvre galurin…. La dernière volonté émise par son compagnon des jours mouillés, ça se respecte. Lui ai demandé si je pouvais approcher une dernière fois mon oreille tout contre son vieux feutre usé, histoire que notre ultime échange ne soit pas capté par les murs. Nos adieux ne les concernaient pas, nous avions à parler du monde l’infiniment petit de la matière. Angle par lequel plus tard, feu mon chapeau, devenu grains de poussière de cendres, trouverait la porte d’accès à son vœu.

Mes grimoires le disent tous, il existe des phénomènes incompris des hommes, des passerelles entre les mondes du visible et de l’invisible.

Question de lunettes, les nôtres ne sont pas performantes, juste correctives.

Alain Afflelou ne faisant que : « limiter le flou ».

Avec un tel slogan, je serais virée de son staff publicitaire et pourtant…


Chapeau et moi, avions certainement trouvé une CLE d’entrée, en choisissant le bûcher comme sa porte de sortie….

Il s’en est allé serein, séduit par la mise au point finale de notre plan.

Un souhait, une idée, une action.

Passage à la phase finale.

Comment ? En faisant briller « ma plus grosse marmite », avec les cendres de mon ami vert. Du ménage à l’ancienne pour une casserole hors du commun….

Un chaudron de cuivre d’une « contenance brouet » de 60 personnes. Huile de coude au programme, l’astiquage, qualité « miroir » prend un temps fou et vous chauffe l’épaule droite pour plusieurs jours….

Mais là, une fois poncé, ni soupe, ni jambon au programme de l’antre cuivré. Juste une expérience à mener à son terme.


Déposé mon chapeau neuf à l’intérieur du chaudron briqué avec la poussière du vert, l’ancien.

Ni eau, ni feu. Juste le couvercle….

Puis, je me retirée sur la pointe des pieds. Il y a des conversations qu’il ne faut pas écouter aux portes, surtout à celles de l’au-delà.

Mon traité d’alchimie se détruirait à la seconde et moi, maudite pour plusieurs éternités….

Normal, chacun a sa place, j’ai beau être naine, je suis encore beaucoup trop grande, pour avoir accès à la substance même, des choses de l’infiniment petit…

Ce monde étant plus subtil que le nôtre, celui de l’homme visible, satisfait d’être juste matérialisé….

JE ME VOIS, je suis ! Con à mourir…, comment peut-on se suivre, sans se marcher dessus ?

En parlant de marcher : ALF attend sa rando.

J’arrête là ce récit. La suite étant « trop incroyable » pour être décrite avec nos mots.



Vous savez maintenant une partie de la colère de mon « quatre pattes ».

Ne plus reconnaître ma SILOUHETTE lui a fait :

« Monter les boules à la plume ».

Sauf que cela, n’explique pas encore tout à fait sa cure de HARICOTS VERTS.



A la semaine prochaine…. Sa suisse

qui écrit le mieux? Alf ou sa maîtresse?!!!
bonnes ballades entre deux récits!

Pour les amoureux des aventures de notre extra terrestre :

Bonjour Beauregard.

Mon E.T….
Cure de haricots verts : suite et fin.
Retour à son carton rouge : ses huit jours sans viande ni os, étaient entièrement mérités.

« ALF m’a trompée ! ».

Un comble pour une petite personne célibataire….
Mon ami sur pattes s’est TAPE UNE POULE.
Le con ! et en plus elle était mariée.
La totale, sous mes yeux, à 10 mètres dont 9 de trop.
Et, il a « bon œil » mon E.T., visé la plus charnue, une belle, bien grasse de trois ans.
Il ne lui a laissé aucune chance, morte à la seconde où il lui a foncé dessus.
Maître Renard aurait été dégoûté par son agilité.
Moi aussi !!!
Fâchée contre lui, fâchée contre moi, rien vu venir, rien pu interrompre.

Nous marchions le long d’une petite rivière depuis plus d’une heure, il faisait beau, pas trop froid, une jolie rando de fin d’hiver. Mon jeu de dressage était de le faire sauter d’une berge à l’autre, puis de tenter des passages de gués. Traverser en se mouillant bottes et coussinets. J’adore patauger, lui pas trop ; face à un gué, il freinait encore souvent de ses deux pattes avant, alors que ses arrières semblaient un plus d’accord avec moi. Ce manque de coordination finale pouvait donner à son corps, un petit air de dromadaire bourré, une grosse bosse qui s’emmêlerait les crayons. J’avais beau lui dire qu’il savait nager, qu’il ne risquait rien à passer dans 10 centimètres de flotte, la crainte de cet élément naturel est ancrée profondément en lui.

Ce style de sortie, j’en fais souvent, car quand je pars en pleine forêt, impossible de ne pas tomber sur une source ou un petit ru. Les bois des Amognes sont remplis de mini vallées d’où jaillit l’eau. Se retrouver loin de tout, en fond de vallon et devoir faire demi-tour, juste par ce que son « quatre pattes » refuse de traverser un obstacle de flotte, je l’ai vécu une fois, mais pas deux…. ALF avait peur de l’eau mais pas de la pluie en arrivant ici. Depuis, je le soigne à ma manière. Petit à petit ça fonctionne, bien qu’il préfère largement sauter par-dessus un ruisseau que de s’y tremper le bout des ongles…. Pas bête ce chien, pour éviter d’écailler son vernis noir, il devient champion de saut en longueur de largeur de cours d’eau, il y joue même tout seul, assez naturellement (depuis peu), passe d’un bord à l’autre d’un ruisseau que je n’ai plus qu’à longer (ouf !). Il avance, inutile de préciser que je suis bon public, applaudissant à chaque nouvel exploit. J’ai tout à y gagner, je rentre bien moins vannée qu’avant. En réalité, je n’avais plus l’âge de jouer à saute-rivière, mais cela ALF l’ignorait et je devais le lui apprendre pour l’aider à évacuer ses trouilles.

Imaginez-moi en février, après une heure de saute-rivière, heureuse pour ALF, ok, mais bien moins fraiche que l’eau.
Et soudain, en bonus, je vois poindre à l’horizon un obstacle de poids : du gros bétail.
Deux groupes de charolaises, en vis-à-vis, occupaient les berges de mon exercice ; en février, ça frôlait la poisse….
La plupart des troupeaux étant encore dans les stabulations.
Impossible de remonter le cours d’eau jusqu’à sa source, mon plan était foiré, sauf à contourner ses futurs steaks. A cet usage, je récupère un petit chemin de terre, mon chien prend un peu d’avance sur moi, je le laisse faire, ne pensant vraiment pas tomber sur une maison. Aucun bruit d’activités humaines, rien pour me mettre la puce à l’oreille et soudain : « cot, coot, cooot, coooot, gloups ! ».
J’ai eu le son avant les images.
Du grand n’importe quoi, mon chien, qui sait ne plus partir sur un gibier, venait de se « faire une poule ».
Bon, certaine que celle-ci n’a pas eu le temps de souffrir, mais purée que j’étais furax.
Son trophée dans la gueule, ALF s’est enfui, moi pas.
Partir comme un goupil, un voleur de poule, bon pour un quatre pattes mais pas pour mon « 36 fillette ».
Lui courir après, lui arracher sa proie, le battre, pas mon style. Cette méthode d’éducation est peut-être plus rapide que la mienne, sauf que j’ai un mode de vie très simple, je cultive le principe de la non-violence.
ALF est un chien intelligent, juste à mon ton, il a très bien compris que la responsabilité de la liste des courses de ses menus, ne pouvait lui être déléguée.
Sa poule, il a eu le temps de la manger mais derrière, il a été largement puni. Deux jours sans sortie, aucune gamelle, juste de la flotte, puis cure de haricots verts. Le tout, pour remettre son transit dans l’ordre….

Une bonne heure pour manger sa cocotte, le temps que j’en trouve non pas le couvercle mais le propriétaire.
Il n’y avait personne sur place, que de belles gallinacées dont un coq veuf. Eploré ? Je n’ai pas eu sa réponse.
Frappé à toutes les portes de cette maison isolée, aucune ne s’est ouverte.
Je ne pouvais pas y passer le reste de la journée non plus….
Heureusement, je marche toujours avec un couteau suisse, une lampe de campeur, un minuscule agenda, un stylo, une pince à épiler et quelques euros dans les poches de ma veste « Mac Gyver ».
J’en étais à griffonner un petit mot d’excuses relatant l’incident et le nom du coupable quand un vieux monsieur est arrivé. Je pensais me faire disputer, rien de tout cela. Un homme charmant auquel j’ai pu rembourser la prise de mon « faux renard ».
Récupéré ALF au bord de l’eau, avec quelques kilos en plus, son bide frôlait « la barrique ». Manger des plumes fraîches devant être, un soupçon étouffant, déshydratant.
La totale….

La vie a continué, cette affaire oubliée ou presque….
Je n’avais pas de poules chez moi pour reproduire cette scène, une fois, deux fois, dix fois jusqu’à ce que mon E.T. sache résister à cette tentation. Or, j’aime repartir d’une erreur pour travailler à la corriger. Comment m’y prendre ?
Je me voyais mal, allant demander à un fermier du coin de me permettre d’accéder à son poulailler. Déjà qu’ici, ils ne supportent pas ma nationalité helvétique, ajoutez-y un chien belge, vous avez la réponse. Notre duo ne passera jamais la barre de leurs peurs paniques des différences….
Bon, vu ma manière de penser le vivant, j’aggrave mon cas tous les jours.
J’en ris, mon chien l’ignore, mais il me fallait réellement trouver un lieu d’exercices proche de ma boutique.

Les petits lutins du monde des rêves ont dû capter mon inquiétude.

Et bien tu en fais de belle Alf !!!!!!!!!!! désolée pour la pauvre poule mais je peux pas m'empêcher de rire

Pensées bien triste pour la petite poule.
Futures pensées bien tristes pour "les futurs steack" appelés d'e leur vivant vaches charolaises.
C'est toujours un plaisir de lire les aventures d'Alf. Quelle imagination et quel talent rédactionnel.
On attend la suite.

... suite


Un beau matin, la solution s’est trouvée installée à ma porte : derrière la maison, sur mes terres coule un petit ruisseau, un troupeau de canards est venu s’y poser. Jusque là, rien d’original, il en vient tous les ans, mais cette année la donne n’est pas la même.
Tous sauf un, ont bien des allures de colverts, mais le chef du lot est un canard bien plus gros qu’eux et entièrement blanc. Ce groupe est forcément issu d’un croisement entre du sauvage et du fermier. Les observer, à vivre seuls, loin d’une basse-cour, tout en étant quasi domestiqués est assez curieux. Tous obéissent au blanc, le plus dodu, le plus lourd, donc ne pensent plus, pas, à s’envoler en présence d’humains.
BINGO !, tous les après-midi, je vais faire visiter à ALF ce cadeau de la nature. A notre arrivée, les canards sortent de l’eau, mais très tranquillement, à la queue leu-leu, tout en cancanant. Morte de rire à tous les coups, ce spectacle vaut le déplacement.
D’où viennent-ils, où repartiront-ils, aucune idée. Juste que là, au présent, ils me sont fort utiles.

Imaginez la scène : ALF assis d’un côté du ruisseau, de l’autre ces jolis palmipèdes qui l’observent, le cul posé dans l’herbe.
D’un bond, suite à ses progrès en saut aquatique, il pourrait en faire sa pâtée, nenni, il ne bouge pas d’un millimètre et sans laisse….
Ok je suis présente, mais il nous faut tous passer par des exercices pratiques à effectuer encore et encore pour tendre à espérer évoluer, que nous soyons humains ou compagnons poilus de….
Un arrière-petit-fils de loup qui a la possibilité de crécher en pleine nature doit pouvoir vivre ses sorties en étant détaché. Quand je fais cinq bornes, lui peut ainsi en faire le double voire le triple, selon son humeur ou le climat. Mon fauve a eu tout à découvrir ici, à un âge où il n’était plus chiot et il progresse encore, malgré ses cinq bougies soufflées en automne.

Alors, qu’il vous ait écrit pour protester de ses conditions de vie m’amuse beaucoup.
Il s’est bien gardé de vous parler de « la Perlée ».
Sa poule avait un joli plumage gris parsemé de petits points blancs du plus bel effet.
Aujourd’hui, seule ma plume peut faire revivre les siennes.
La honte….
.
ALF a du caractère, mais croyez-moi sur parole, le mien n’a rien à envier au sien.
Quand j’étais môme, à l’école, mon surnom était IDEFIX.
Bizarre ? Non mérité, quand je posais une question en classe, je ne lâchais jamais mon idée tant que ma curiosité enfantine n’était pas satisfaite. Depuis, mon cas s’est aggravé car les questions que mon cerveau se pose sont de plus en plus compliquées et j’aime toujours autant ne jamais les oublier. Car, comme dans l’histoire des canards, la vie m’en apporte régulièrement des solutions, au détour d’un chemin, d’une rencontre ou d’une lecture.

Oui, je ressemble à mon chien qui aime apprendre et ne fait jamais rien à moitié.
Bon promis, je vais lui rendre la plume, mais, tant que estomac en était rempli, normal qu’il en fût privé….


Bon printemps à toutes et tous, épilées, poilus à l’année, sur deux jambes ou quatre pattes.

La naine de l’E.T. trompée par une cocotte DURALEXpulsion (dixit son chien)

Alf, j'espère que maintenant tu vas être plus raisonnable et que tu ne ne mangeras plus les plumeux !!!!!! à bientôt pour d'autres aventures, c'est un régal de te lire par l'intermédiaire de ta Naine

C'est toujours un immense plaisir de te lire Alf ! Merci pour toutes ces bonnes nouvelles si joliment racontées.

Bonjour Alf , j'aime bien ta " super" vie et ta façon de nous la raconter .. caresses à toi mon beau !!

C'était une hure amicale

Bravo Alf !

Merci de nous donner de tes nouvelles Alf, c'est toujours très agréable !!!

Mon pauvre Alf, tu es bien à plaindre d'avoir une copine mal coiffée c'est toujours aussi drôle de te lire !!!!

Enfin trouvé l'endroit où mon fauve envoie ses doléances.
Pas certain qu'il apprécie mes progrès en informatique.
Qu'importe, je pourrai ainsi "contrôler ses humeurs" sans R-V chez son véto!

Ah vous voilà Elvire

Merci Elvire pour vos missives. C'est un régal que de suivre la vie merveilleuse que vous faites à Ralf.
Bon dimanche,

si tous les poilus pouvaient se plaindre comme toi Alf ce serait le paradis!!!!

Pardon Alf d'avoir ainsi changé ton nom!

Pour mchris
Toute pardonnée, ma naine dit qu'après le demi-siècle, sa vue en a pris un coup.
Alors pendant qu'elle dort, je vais vous refiler son truc....
Ici, elle cueille une petite plante pour lutter contre "l'âge de ses yeux".
Je vous envoie (par la pensée) un bouquet de son remède, des "casse-lunettes".
Celles-ci portent un autre nom dans ses bouquins, beaucoup moins joli, moins poétique: l' euphraise.

Cette fleur a presque un nom de FRAISE, sauf que ma truffe ne la chasse pas, concentrée uniquement sur les vraies,les rouges à petits points noirs....
Léchouille à vous. ALF